Partir un jour...

Ce matin, je n’ai pas écrit. J’étais abattue, fatiguée, déprimée. Il y a des jours qui font mal. 

Et, il y a une chanson qui m’est revenue, ce matin : « Partir un jour / sans retour / etc… » du groupe To Be Free ou 2Be3. (Ma jeunesse !) Elle m’a détruite car, l’histoire de ce groupe ne s’est pas déroulée au mieux puisque l’un des trois amis est parti pour de vrai. 

Évidemment, comme on dit dans ce milieu : The Show Must Go On ; le spectacle continue. Mais, avouez que quand vous perdez un ami, que vous fassiez semblant ou pas, il ne sera pas là pour vous applaudir à votre retour.

Et, j’en suis là. 

Oh, bien sûr, je continue. Mon mari est là. Mes enfants et mes petits enfants sont présents mais, ce matin, j’avais envie d’un « espace de vide. » Et puis, je me suis dit que je pourrais partager mon impression. La peine se partage, parait-il. 

Voilà qui est fait. 

Partir un jour, sans retour ; quelles futilité que nos vies ! Une goutte d’eau dans l’océan ! Une seconde dans le temps ! Je peux tout écrire ; demain, vous l’aurez oublié. 

Ouais ! Heureusement, il y a le blog de mes amis pour me remonter le moral : avidoxe, Dan&Dina, dinadedan, EcrirePastel, Elsass-by-Nath,  gravillons, et VittorioDenim vous feront la causette. Un petit clic sur le lien et vous êtes reliés. Bonne lecture.

Société de faux

J’aimerais rebondir sur le poste d’Avidoxe de cette semaine. (20/02/2018)

Si je comprends bien, il pense que nous sommes entourés de traitres et de faux-culs et que la société encense ces petites gens et même les pousse à accomplir ces actes de bassesse. 

C’est possible. Mais moi, en tant que mère, je vois un autre danger et j’en suis peinée.  

Tout d’abord, je ressens le même problème qu’il y a dans les écoles entre jeunes. Vous savez : « le pousse au suicide par la rumeur. » 

Ensuite, et c’est tout aussi grave, la fin de la liberté de penser. 

Oui, j’ai bien dit : la fin de la liberté de penser. La fin de la confiance en son prochain. 

Car, si on ne peut plus dire ce qu’on pense sans se faire enregistrer, si on ne peut plus donner son avis personnel sans être dans les médias, si on ne peut pas donner son simple avis sans qu’il soit sorti de son contexte et mis sur la place publique, alors, c’est la fin de cette dernière liberté : la liberté de pensée. (Si, je l’ai bien écrit !) 

La pensée, c’est la dernière barrière où on est encore à l’abri. Et, vu comme vont les choses et à la vitesse où elles sont étalées, il se rapproche le temps où cette barrière va tomber. 

Ainsi, je me pose la question à votre place, les jeunes : « Quel avenir êtes-vous en train de vous préparer ? » « Est-ce vraiment cela que vous voulez pour vous ? »   

Car, c’est vous qui serez les adultes de demain. C’est vous qui serez confrontés aux autres « vous », ceux que vous aurez libérés, ceux qui vous priveront de la liberté de pensée.  

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Faire la fête aux pauvres

Les pauvres sont cons ! Je sais, d’autres avant moi l’ont dit. Coluche par exemple a chanté « Misère » et a dit ; « La pauvreté rend con. »

Et il avait raison car, que peut-on constater en regardant les actualités ? 

‘Les jeunes des milieux défavorisés ont brulé des voitures.’ Les voitures de qui ? Celles des riches ont un garage et sont bien à l’abri. Donc celles des gens comme eux : des pauvres ! Ou alors ‘L’Emmaüs d’Andolsheim a brûlé’. Je rappelle que les Emmaüs sont une association qui essaie d’aider les plus pauvres. Et, qui y aurait mis le feu sinon des pauvres. (Même s’ils auraient été mandatés par des riches !)  Et il n’y a que des exemples sur ce registre : les pauvres se tirent dans les pattes ! Ils sont cons ! 

Pendant ce temps, ceux qui vivent sur leur bêtise, les opulents, s’en vont sur des îles inaccessibles aux pauvres car trop loin et trop cher. Et ils se gavent du pognon que les pauvres leur donnent. Et ils rient de la bêtise des pauvres. Et ils attendent les dividendes car, ils ne travaillent pas, les riches ; ils font travailler des robots et quelques pauvres qui se font de plus en plus rare, d’ailleurs. 

Mais, le plus grave, ce sont les pauvres d’esprit, ceux qui mettent des bombes qui tuent des gens comme eux, pas ceux qui profitent d’eux, non, ni ceux qui les prennent pour des cons. Et, même là, en tant que femme, ayant une âme, une conscience, je ne leur donnerai pas mon consentement. Même pauvre, on peut être humain ! 

Voilà, c’était mon coup de gueule du 14/02, la fête des amoureux. Que d’amours gâchées ! 

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Place tic-tac recycle-âge !

J’ai entendu aux infos qu’on pourra ramener les bouteilles en plastique dans les magasins et ils nous rendront les 25 cents de la consigne. 

A première vue, c’est bien. Chacun voudra récupérer son argent et, du coup, il y aura moins de plastique abandonné dans la nature. 

Aussi, on va nous enlever les containers dans lesquels on les met actuellement ; ce qui va nous faire gagner de la place. (Ce qui me fait penser que les entreprises qui récupéraient ces bouteilles gratuites ne les aurons plus et cela va créer du chômage !)

Mais, mais, mais… Que va-t-on faire avec les bouteilles plastique refusées ? Qui gardera les 25 cents qui ne seront pas rendus ? Et donc : nous perdrons 25 cents et aurons une bouteille en main dont on ne saura pas où mettre… où vont la mettre les gens mal intentionnés puisqu’il n’y aura plus les containers ? 

Pour l’instant, je ne dis rien. J’attends pour voir mais, je ne présage rien de bon. En même temps, si on ne fait rien, il ne se passe rien et le « continent pastique » continuera d’augmenter de volume. Alors, j’attends…  

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