Polars, Thrillers ou souvenirs en rimes

Je suis fâchée contre tout et tous. Pourquoi ? Parce que vous, nous, les gens, considérons la poésie comme du « n’importe quoi » ! 

D’ailleurs, plus personne ne lit la poésie. 

Je parle de la vraie, naturellement, pas de celle qu’il vous arrive d’écrire pour éviter d’éclater… en sanglots, en colère, etc. Je ne parle pas de cette poésie thérapeutique qui n’intéresse que vous et encore, ce n’est pas sûr car, une fois que vous l’avez écrite, que vous vous sentez mieux, vous croyez que ce que vous avez « pondu » est excellent !

Alors, pourquoi vous ne la relisez pas ? Parce qu’au fond de vous ; vous savez que c’est nul ! Et, comme tout le monde tartine cette poésie-là, plus personne n’a confiance en la vraie poésie. 

Plus personne ne s’instruit. Plus personne n’achète la poésie. 

Par contre, vous écoutez des chansons idiotes que vous achetez cher et vous croyez que c’est le la poésie juste parce le chanteur (qui n’a rien écrit) fait rimer amour et tambour ! 

Bref ! Pourquoi je suis fâchée ? Parce que mon ami Vittorio qui écrivait de la bonne poésie, avec des sentiments, le l’attention, de la vérité, etc. n’en édite plus ! Fini, il a arrêté. Il s’est converti au polar, au thriller, juste parce que cela se vend ! 

Je ne suis pas étonnée. Il écrit pour être lu. Je le comprends. Je regrette qu’il n’écrive plus ses beaux textes mais, je comprends. 

Ainsi, j’ai pu acheter « Le Cas Nonnenbruch » chez Lulu.com, site que vous pouvez consulter juste en cliquant sur le lien.

C’est très bien, je l’ai lu et j’ai même lu les autres romans que vous pouvez acheter via le net.

En plus d’être un bon poète, c’est aussi un excellent romancier, c’est certain mais moi, j’aimais beaucoup sa poésie et je serai heureuse le jour où il reprendra les rênes de la rime.  

  

Ouais ! Heureusement, il y a le blog de mes amis pour me remonter le moral : avidoxe, Dan&Dina, dinadedan, EcrirePastel, Elsass-by-Nath, Tandem Littéraire,  gravillons, et VittorioDenim, vous feront la causette. Un petit clic sur le lien et vous êtes reliés. Bonne lecture.

Equipé ? Toujours les mêmes.

Vous pouvez le lire dans vos quotidiens, l’entendre à la radio et même, de plus en plus souvent, le voir parfois à la télévision : nos élus commencent des projets qu’ils ne terminent pas. 

Exemples :

« On » commence une autoroute qui ne sera jamais empruntée ; elle n’est reliée ni à une autre autoroute ni même à une autre route.

« On » construit un hôpital qui ne sera jamais utilisé car pas dans les normes. Etc.

Il y a aussi le cas où ‘untel x’ commence un projet mais son mandat se termine et il n’est pas réélu ! Alors, le suivant ‘untel y’ pour faire des économies dans « son mandat » ne continue pas les travaux ! Mais, ce qui a été fait, nous, on l’a payé ! 

Et, des cas de gouffres financiers, il y en a des tas ! Et, qui paie ? Toujours les mêmes ! 

C’est à se demander si on joue (quand on parle d’argent, ce n’est plus un jeu) dans la même cour (pays) ou si c’est chacun pour soi mais… avec nos sous !

A réfléchir.

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Grève ou réalité

Apparemment, le mot grève vient d’un mot latin « grava », probablement d’origine Gauloise,  qui désignait du sable épais, grossier. (Sans doute, ce qui a donné aussi gravier ou gravière). 

Il parait qu’au 17^ème siècle, les chômeurs se réunissaient sur une place appelée de la grève car faite de ce sable grossier (sable et cailloux, quoi!). Mais, ils y venaient pour chercher du travail ! Et, ce n’est qu’au 19^ème siècle que  ce terme changea de signification. 

Ce mot peut aussi provenir de l’ancien français « grieve » qu’il faut raccrocher au latin « grevis » qui signifie « conflit ; dommage » ; d’où « grief » doléances, reproche. 

En France, le droit de faire grève a été reconnu (loi Ollivier) le 25 mai 1864 et, la première grève nationale de revendication a été faite e, 1906 pour avoir la journée de 8 heures. 

Voilà, maintenant vous savez des tas de choses, pouvez-vous m’expliquer comment je fais pour aller à Lyon alors que les travailleurs de la SNCF sont en grève et ceux de la Lufthansa aussi. En rêve ? Et cela, c’est la réalité. 

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Données et Disque Dur Donné

Question : les données d’un disque dur sont-elles effacées définitivement ? 

Cela nous est arrivé à tous. A un moment ou un autre, nous avons effacé quelque chose sur le disque dur : une adresse, une photo, un fichier, etc. Mais, pensez-vous qu’il n’y en a plus aucune trace ? Oui ? Vous avec faux ! 

Ces données sont toujours présentes, comme les souvenirs dans la mémoire de votre tête. Même ceux qui sont enfouis très profond depuis très longtemps, sous hypnose, on peut les retrouver. 

Pour les disques durs, avec certains appareils spécialisés, des techniciens (tout aussi spécialisés) peuvent restaurer et lire ces données. 

 

Comment faire alors pour qu’ils (les techniciens) ne puissent pas y accéder ? 

Il faut multiplier les écritures ‘dessus’ ou alors, détruire, physiquement, le disque ; le casser en plusieurs morceaux, quoi. 

C’est, d’ailleurs, ce qu’il faudrait faire quand on jette ou on vend, ou on met au rebut, un ordinateur. Mais, qui le fait ?

Et, à part un président de quelque chose d’important ou un agent secret, à quoi pourraient bien servir nos photos ou nos fichiers ? Quelle importance avons-nous ? Chacun la sienne ! Chacun sait ce qu’il a à faire. 

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