mercredi 26 avril 2017

En Fin ! Deux Comptes.



Il y a 11 mois, j’ai ouvert ce blog pour vous parler de mon amour avec l’Alsace. Mis à part le mois d’août, j’ai mis un article par semaine. Ainsi, je peux dire que, depuis 10 mois, je suis lue  environ 400 fois par mois

C’est bien mais, pas assez. 

J’ai donc décidé de me mettre un peu à l’écart, de côté, et de voir venir. Je ne suis pas assez lue pour continuer quelque chose de sérieux. Tant pis. 
Comme le veut la coutume, je vous dirai : « J’en assume l’entière responsabilité. »

Je continuerai de fréquenter le Club des Poètes E110 et de participer aux actions des « Mousquetaires de la Poésie » notamment dans l’Atelier de Poésie de l’Espace 110 d’Illzach.  Et, si je m’ennuie, je vais m’abonner à une revue et lire les articles des autres. 

Merci à tous ceux qui m’ont lue, ceux qui ont commenté mes articles, qui m'ont critiquée, qui m'ont approuvée, et tous ceux qui m’ont soutenue. Je ne vous dis par adieu. Je ne ferme pas la porte. Je me mets en attente. (En stand bye, comme dirait mon fils !) Et puis, vous pourrez toujours me lire dans avidoxe de temps en temps.

A bientôt. 
Nathalie (Carmen pour les Amis) 

Ouais ! Heureusement, il y a le blog de mes amis pour me remonter le moral : avidoxe, dina.de.dan,  EcrirePastel, Elsass-by-Nath, gravillons, et VittorioDenim vous feront la causette. Un petit clic sur le lien et vous êtes reliés. Bonne lecture.

jeudi 20 avril 2017

Les Cigognes - III - Pour enfinir... ou pas !



Comme mes amis de la poésie, je tiens un blog que j’alimente à date fixe. Eux, ils font de même et, mis à part dmvictor (à ne pas confondre avec Victor Daeck) qui écrit dans « Gravillons et Doutes » tous les jours, chacun de nous met un message par semaine, à jour fixe. Donc, je pourrai dire que c’est, pour nous quatre, une occasion de nous donner des nouvelles les uns les autres.

Or, un blog peut être lu par tous et même commenté. Et, suite au dernier post : « Mais où vont-elles chercher tout ça ! » j’ai reçu un message d’une dame qui n’a rien compris. Elle a cru que mon mari était raciste et se moquait des africains qui viennent chez nous pour ‘échapper à la misère !’ 

Donc, madame, je précise que : 

1) si Henry est un vrai alsacien « avec accent et gros bide » il ne peut pas être raciste ; il m’a épousée et je suis espagnole par mon père et française par ma mère.
2) si notre amie est blonde et picarde, son époux est noir et a les cheveux crépus ; il est né au Sénégal.
3) si quelqu’un est raciste, ce doit être vous puisque vous avez amené nos propos à des idées raciste (les vôtres !) ; avec nos amis, nous avons discuté, entre nous, sans aucune mauvaise idée et sans à priori.
4) si vous ne vous aimez pas, ce n’est pas de notre faute. Nous sommes bien entre nous : alsacien (Henry), demi-espagnole (moi), italien (Éric), européen (Vittorio) et français du terroir Sundgau (Victor). 

Comment pourrait-on être raciste avec les amis que nous avons ! Par ailleurs, notre ami est né au Sénégal et s’appelle Demba. En plus d’être noir, il est musulman ! Alors, Henry, raciste ? Non ! 

Ou, plutôt, si ! Comme dit Vittorio : « Bien sûr que je suis raciste puisqu’il y a une race que je ne peux pas piffer : les cons ! » 

Ouais ! Heureusement, il y a le blog de mes amis pour me remonter le moral : avidoxe, dina.dedan,  EcrirePastel, Elsass-by-Nath, gravillons, et VittorioDenim vous feront la causette. Un petit clic sur le lien et vous êtes reliés. Bonne lecture.

mercredi 12 avril 2017

Mais où vont-Elles chercher tout ça



La dernière fois, j’ai mis un texte sur les cigognes à Colmar. 
Or, dimanche ; j’ai eu de la visite. Un couple d'amis assez atypiques ; une blanche colombe de Paris et un picard né au Sénégal que nous connaissons depuis 1977, c'est vous dire ce qu'est l'amitié. 

Évidemment, nous avons parlé de l'Alsace et de la Baie de Somme mais aussi de nos blogs respectifs. Ainsi, ils m’ont parlé du texte précédent puisque, eux aussi tiennent un blog et, de fil en aiguilles, comme c’est le printemps, nous en sommes arrivés aux cigogneaux, puis aux enfants. Car chez nous, ce sont les cigognes qui apportent les bébés. 

Alors Henri a dit : « En tout cas, on peut pas nous traiter de racistes en Alsace. » 
Tout le monde s’est demandé où il voulait en venir. Il a continué : « Ben oui, en Alsace, ce sont les cigognes qui apportent les enfants. Elles les apportent au printemps. Où sont-elles allées les chercher ? Là d’où elles viennent : d’Afrique du Sud ! Elles ont passé tout l’hiver en Afrique. Donc, au printemps, elles nous ramènent les petits africains. »  
 « Si je comprends bien, a surenchéri notre ami, maintenant qu’elles font de la mi-migration, elles vont nous ramener un futur président basque pour le mois de mai ! » 
« Du moment qu’elles ne nous apportent pas de nouveau un catalan, tout va bien, a rétorqué Henry. » Puis, il a marqué un temps d’arrêt, a réfléchi et a dit : «  Et chez vous, ils viennent comment les enfants ? » 
C'est Jeanine qui a répondu : « Les garçons naissent dans les choux et les filles dans les roses, a répondu notre amie en rougissant un peu. » « Ah, a dit henry en se grattant la tête, je comprends pourquoi ce sont les cigognes qui se déplacent jusqu'à chez nous ; si les garçons naissaient dans les choux, je ne te dis pas le carnage à Krauterghersheim ! C’est quand même la capitale de la choucroute ! » 

Et c'est à ce moment-là que je suis intervenue : " A table ! Je vous ai préparé de la choucroute. Vous allez aimer." 

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mercredi 5 avril 2017

Abeilles, Cigognes et 'Regardeurs'



J’ai la chance d’habiter une belle ville, une des plus sèches de France : Colmar. 
Même à Marseille il pleut plus que chez nous ! Et, aujourd’hui, il ne pleuvait pas, ne faisait pas trop froid ni trop chaud ; c’était une journée à se promener. 

J’ai dit à Henry : « Allez, hoplà, on sort une fois. » Il a rouspété. Non, pas pour la sortie, ni pour le hoplà mais, il a jugé que le « une fois » ne se dit plus guère de par chez nous. Yoh ! Il peut parler, lui. Il est né en Alsace ; il n’entend pas comment il parle. 

Bref, nous sommes allés nous assoir au parc du Champ de Mars, face à la fontaine Bruat.

Là-bas, nous avons vu une cigogne qui volait assez bas. Je me suis dit : « Tiens, elles sont de retour ! » Henry, m’a dit qu’avant, elles allaient en Afrique mais, maintenant, elles ne migrent plus tellement, en tout cas elles ne vont plus tellement loin. Elles s’arrêtent en Espagne, le long de la Loire ou ne partent pas du tout. Celles qui prennent leurs quartiers d’hiver font de la « mi-migration ». C’est sans doute à cause du réchauffement climatique ! 

Ensuite, je voulais faire une photo mais, pendant qu’on parlait, la cigogne, elle est partie. Il faut croire que ça ne l’intéressait pas ce qu’on disait.
Je comprends. Du moment qu’elle a à manger, elle est contente. Les nids sont mis à disposition sur plusieurs toits et, gratuitement, en plus. Alors, elles reviennent. 

Bien, si vous avez aimé, lisez aussi le blog de mes amis : avidoxe, dinadedan,  EcrirePastel, Elsass-by-Nath, gravillons, et VittorioDenim et, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux. Bonne lecture.