Le "brown-out" gagne la France

Tout d’abord, il faut savoir ce qu’est le brown-out. 

C’est, en peu de mots, la perte d’intérêt pour ce qu’on devrait faire.

Exemple : vous êtes payé pour compter les moutons. Seulement, voilà, alors que vous aviez fait des mains et des pieds pour décrocher ce job, ce travail ne vous intéresse plus. Vous n’en dormez pas la nuit et vous trainez des pieds pour y retourner chaque soir. (Ben oui, le soir ; c’est le soir qu’on compte les moutons !) 

En bref, vous avez perdu de l’intérêt pour votre travail, vous aimeriez faire autre chose mais, si vous le quittez, ce n’est pas sûr que vous alliez en retrouver un autre. Alors, vous restez mais, à contrecœur. Et voilà le brown-out qui vous gagne car vous avez le sentiment d’être « inutile ». 

La parade, elle est simple : réagir. 

• Dans un premier temps, arrête de réfléchir. Pour être dans l’action, il ne faut pas penser. La preuve : les soldats, on les fait chanter. Pourquoi ? Pour qu’ils ne pensent pas. Et, ça marche ! 

• Dans un deuxième temps, tu sors ta flute de l’armoire et, avec 2 autres copains, vous formez un groupe. Faire quelque chose de différent, que l’on maitrise, vous redonnera du punch.

• Troisième point : si tu n’as pas de copain ni même un voisin de palier. Inscris-toi à un club d’écriture. Écris tes rêves, tes espoirs, tes envies, etc. Dans un livre, tu peux tuer ton chef de service, personne ne te dira rien. Défoule-toi, fais débarquer des martiens,  ressuscite ta vedette préférée pour en faire un confident ou donne tes impressions sur le « border-out » (qualificatif qui n’existe pas encore et qui consiste à prendre du plaisir en se mettant, en border-line, à la limite du down-out !)

En bref : rends-toi utile, agis.  

Ouais ! Heureusement, il y a le blog de mes amis pour me remonter le moral : avidoxe, Dan&Dina, dinadedan, EcrirePastel, Elsass-by-Nath,  gravillons, et VittorioDenim vous feront la causette. Un petit clic sur le lien et vous êtes reliés. Bonne lecture.