La
dernière fois, je suis venue vous dire que les oiseaux manquent. C’est vrai, il
y en a de moins en moins. Et pas que les oiseaux, d’ailleurs.
C’est
une évidence et cela devient régulier : plusieurs races d’animaux
disparaissent. Pourquoi ? Bêtement, par la faute de ceux qui se font
appeler humains. Vous et moi, quoi !
Mais
oui, vous aussi, vous qui ne dites rien. Cela ne vous regarde pas ? Et les
abeilles qui disparaissent par ruchers entiers, cela vous est égal aussi ?
D’accord,
vous ne consommez pas le miel mais, elles vont d’une fleur à l’autre et
fécondent les pommiers, les cerisiers, les pruniers, etc. Et, ne me dites pas
que vous ne mangez pas ou ne faites pas une tarte aux pommes de temps en temps
ou clafoutis aux cerises !
Sans
les abeilles, plusieurs arbres fruitiers seraient condamnés. Plus de
fruits ! Et ce serait le premier échelon pour la fin des « bêtes à
deux pattes » que nous sommes.
Quant
à ceux qui trouvent un intérêt à la vente des produits chimiques qui tuent tout
autour d’eux, ils ne seraient que ceux qui souffriraient le plus longuement.
L’extinction de l’humain est pour tous, même quand on a du papier avec des
images et des chiffres dessus. A quoi pourrait servir l’argent, fictif ou
fiduciaire, s’il n’y a plus personne pour acheter ? Plus personne pour
produire, plus personne pour servir, pour consomme.
De toute façon, il n’y
aurait plus rien à consommer à part l’or, les diamants ou l’uranium. Mais, cela
ne se mange pas !
Ce
matin, j’ai entendu deux oiseaux dans mon jardin. J’étais heureuse ! Un
couple est revenu. Un seul couple ! Peut-être que ce n’est pas encore la
fin mais, c’est un avertissement !
Ouais !
Heureusement, il y a le blog de mes amis pour me remonter le moral : avidoxe, dinadedan, EcrirePastel, Elsass-by-Nath, gravillons,
et VittorioDenim
vous feront la causette. Un petit clic sur le lien et vous êtes reliés. Bonne
lecture.